Après l’arrivée du Grand Prix d’Italie, une question semblait faire le tour du paddock et des réseaux sociaux : Nico Rosberg a-t-il volontairement laissé passer son équipier en loupant son freinage à la première chicane lors du 29ème passage ?
L’Allemand a prétexté que Hamilton lui mettait la pression, ce qui explique qu’il ait voulu chercher la limite en la dépassant. Mais à ce moment, le numéro 44 n’était qu’à sept dixièmes, la pression était donc loin d’être maximale même s’il revenait nettement sur son rival au championnat.
Après, Rosberg n’a pas semblé vouloir revenir au combat. Il est vrai que Lewis Hamilton a été dominateur tout le week-end et que Rosberg s’est peut-être dit qu’il ne servait à rien de vouloir taper dans la mécanique sachant que le quota moteur va commencer à devenir une donnée à prendre en compte (ce qui explique d’ailleurs qu’Hamilton ait voulu abandonner à Spa il y a 15 jours).
Cela pourrait aussi expliquer le discours étrangement mielleux de Rosberg à l’arrivée. Corporate jusqu’au bout des ongles, son enthousiasme semblait presque être trop beau pour être vrai.
S’agissait-il d’une consigne d’équipe ? La fameuse sanction disciplinaire infligée par Mercedes à son pilote ? Le doute est permis, tout comme sur l’incident de Monaco, et sans doute que la question restera à jamais sans réponse.
Le 2eme coup on peu ce poser la question, après, bon on saura jamais de toute façon.
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