- Grosjean perdi le controle de sa Lotus est fit un « strike » à la Source.
- Quatre coureurs ont abandonnés, et Grosjean fut suspendu pour un GP.
- Le français admet qu’a Singapour 2012 il eut peur au départ, et que depuis, cet accident la changé.
Quand Romain Grosjean arrivera à Spa-Francorchamps fin Août, près de deux ans se seront écoulés depuis le carambolage qui s’est produit au départ de la course en 2012.
Fernando Alonso, Lewis Hamilton, Sergio Perez et Grosjean ont du abandonner après que le français ait perdu le contrôle de sa Lotus et fait une «strike» dans le virage en épingle de La Source.
Deux saisons plus tard, Grosjean reconnaît que le souvenir de cette épisode le poursuit à chaque course. Il est incapable d’oublier.
«Ce genres d’accidents nous laissent une marque indélébile», a déclaré le Français, qui est devenu un pilote beaucoup plus fiable et ciblée depuis 2013.
«Ils m’on suspendu pour une course. Puis vint Singapour. Je n’ai rien essayé au départ. J’avais peur. Depuis ce départ, tous les dimanches, je pense à ça quand je cours, je prépare ma journée différemment que par le passé.»
Grosjean qualifie de « gros accident » ce qui s’est passé en 2012, et il est soulagé de se rappeler que personne n’a été blessé.
Après un grotesque 2012 dans laquelle plusieurs s’interrogeaient sur ses capacités a être en Formule 1, le Français a demandé l’aide d’un psychologue.
«J’aime et je continu avec le traitement, car il fait de moi une meilleure personne dans mon quotidien et ça se reflète également dans le paddock, »» a t-il dit fin de 2013.
«J’ai commencé parce que j’étais assez intelligent pour penser que j’avais besoin d’aide. Ce n’est pas un signe de faiblesse, c’est une force. Vous pouvez toujours vous améliorer et c’est pourquoi je continue de travailler avec elle une fois par semaine, par téléphone ou en personne».
« Elle a travaillé avec les meilleurs athlètes, la plupart des champions olympiques français ont travaillé avec elle. Parfois nous parlons de choses, parfois d’autres … cela dépend de l’endroit où vous êtes et de ce que vous avez besoin de travailler, » dit-il dans une déclaration à Sky Sports.